Maire de Nouméa de 1919 à 1922.9

Elève au collège de Nouméa, puis de celui de Vaugirard. Licencié en droit, à Paris, en Juillet 1903. Rentré à Nouméa, exerce plusieurs intérim de magistrat. Poussé par le désir de rendre service, remplace en Janvier 1913, Me Lemière, décédé, comme avocat-défenseur. Mais bienôt, poussé par ses amis du parti démocrate, il devint « homme politique  par la force des choses*. Facilement élu au Conseil Général et au Conseil Minucipal, il sera prolamé, à l’unanimité, maire de Nouméa, le 29 décembre 1919, tant était grande la confiance qu’avaient en lui amis et adversaires politiques. il acceptera cette charge, par devoir et dans le desir de mieux servir la population calédonienne, et la remplira jusqu’à sa mort. C’était un homme fort culitvé, consciencieux, et qui remplit ses fonctions municipales avec une sagesse, une pondération et un dévouement sans égal. Une rue de Nouméa porte son nom. On trouvera les discours funèbres prononcés sur sa tombe par MM. L. Chauvière, Betford, Bourdinat, Guiraud, A. Unger, Roger Villamur et le gouverneur Repiquet dans la France Australe, du lundi 6 novembre 1922.27