#Générale#Extrait du livre de patrick O"REILLY CALEDONIENS de la Société des Océanistes
A 10 ans , on le met apprenti chez arthur Magnin, alors mécanicien à côté de l' ancien bureau de police. Ses quatres frères seront égalemnt mécanicien. Il fraude sur son âge auprès du sous-directeur destravaux, Mr Frédric Surleau*, pour être accepté. Bientôt son excellent travail le fait remarquer et on le place comme frappeur à la forge dans les installations d' un petit train. Il sera le mécanicien des premières locomotives : <<la Courbet>>, et <<la Feillet>>, de 22 tonnes chacunes. Il entreprit ainsi le roulage du nickel vers les voiliers duquai à partir des mines ouvertes en deça de Paîta. C'était un SOLIER qui était patron des mis mines de toute la région de l'Ermitage. En 1914, Louis est mobilisé. Il part par le Sontay, en avril 1915. Il est àl' attaque de Barleux et aux combats du Chemin des Dames. Il reviendra par le Gange et c'est lui qui donna l' alerte ayant remarqué des sous-marins ennemis dans les eaux du port de Bizerte. Mais c'était trop tard une torpille éclatera aussitôt dans la cale farine du bateau. Ce stock de farine destiné à Nouméa sera la raison du naufrage du navire.De retour en Calédonie, Louis sera envoyé dans le nord du Territoire pour réprimer les troubles des tribus. On lui confiera, à nouveau, lesnouvelles locomotives du Petit Train: la Caulty et la Puech de 45 tonnes. Enfin les T.P. l'enverront en 1942, pour les prmières installations du champ d' aviation de la Tontouta où il travailla avec las Américains. Mais surtout c' estBénébig qui, avec une équipe d'hommes, défricha la plaine des Gaîacs, et participa aux Installations de Népuoi. Ilvit arriver les six premiers bombardiers américains destinés à la bataille de guadalcanal. Louis épouse une Doudoutte.