Vient en Nouvelle-Calédonie dans l'espoir de trouver une situation meilleure pour lui et sa famille. S’embarque à Marseille, comme passager d'entrepont, sur l'Australien , en novembre 1893 avec sa femme, ses quatre enfants, Paul-Raymond, André, Jean-Baptiste et Toussaint, sa soeur et sa belle soeur Barberine-Marie SERRA. N' accepte pas la concession qui lui est réservée, car il est venu en Calédonie comme négociant ; mais la crise que traverse alor la colonie l'empêchede fonder une maison de commerce. Il trouve un emploi à l'hôpital colonial et meurt le 22 décembre 1897. Sa veuve achève l'éducation de ses deux jeunes fils qui étudient chez les Frères, pendant que les deux aînés s'initient au commerce local.27